• Nem - Yoiyami no Augustine
     
    Yoiyami no Augustine
     
    Voix : GUMI
    Musique, Paroles et Arrangements : Nem
    Illustration et Vidéo : Emi (?)
    Album : from Neverland ~ best of Nem
    Autre : Une cover de Len à été réalisée par Nem et est disponible dans son album "Gliese".
     
    Romaji :
    Oreta tsubasa wa mou kaze wo kiru koto wa naku
    Karasu wa nemuru kurai tsuchi no naka
    Sora ni nagareru ten no kawa no kishibe de
    Ima mo futari wa yorisotteru ka na

    Boku wa wasurenai

    Habataite habataite
    Tokomade mo habataita
    Yoru no mukou mata deaeru to shinjite
    Ima demo uta wa hibiite iru

    Kono machi ni wa niwa no oibore garasu ga ite
    Hetakuso na uta hibikasetetan da
    Dakedo aru asa ichiwa ga ugokanaku natta
    Nokosareta no wa yoiyami no augustin

    Kare wa tobitatta

    Kono sora no saihate aoi ryuusei wo mitsuketara
    Negai ga hitotsu dake kanau toiu
    Konkyou no nai meishin da kono machi ja mou hyaku-nen
    Dare mo hoshi ga furu no wo mitenai
    Sore demo kare wa tobi tsuzuketa

    Tsuki sae nemuru shizuka na yoru ni
    Kare no haoto wa sotto todaeta
    Sore wo miteita yozora wa naita
    Kumo wo ugatsu namida no shizuku

    Soshite boku wa kiita futari no utakoe

    Ano hi kara kono machi no yoru wa zutto fukakunatte
    Sora wa issou kagayaite mierunda
    Wasurenai wasurenai wasurenai wasurenai yo
    Ichinen ni ichidou dake furu hoshi

    Sono na wa yoiyami no augustin

    Ima demo uta wa hibiiteiru
     
    : Traduction
    Avec ses ailes brisées, il ne peut plus voler,
    Le corbeau ayant dormit dans la terre de ce monde trop sombre.
    A la banque de la Voix Lactée, les Cieux s'écoulent,
    Même maintenant, comment ces deux là peuvent ils encore rester l'un avec l'autre ?

    Pourtant, je ne vais pas oublier...
     
    Les battements, les battements d'ailes,
    Ces battements bornés juste pour aller quelque part.
    Faisant face à la nuit, convaincus qu'ils se reverront.
    Encore maintenant, sa chanson raisonne...
     
    Dans cette ville, il y a des ailes de verre usées,
    Qui font écho à une chanson terriblement désespérée.
    Quand vint le matin, un oiseau, resté immobile
    Et laissé derrière : Augustin du Crépuscule.
     
    Pourtant, il a continué de bondir vers le ciel...

    Si, au confins de ces Cieux, vous trouvez une étoile filante bleue,
    Ils disent qu'elle n'exauce qu'un seul voeu, mais c'est une superstition sans fondement.
    Et même si cent ans sont passés dans ce lieu,
    Personne n'y a vu d'étoile filante.
    Et pourtant, il continue de bondir pour elle...
     
    Lors d'une nuit tranquille où même la lune dors,
    Le son de ses ailes battantes s'est lentement arrêté.
    Regardant le ciel de la nuit, il se met à pleurer,
    Transperçant les nuages des gouttes de ses larmes.

    Et puis j'ai entendus un mélange de deux voix chantantes...
     
    Depuis lors, les soirs dans cette ville sont bien plus profonds,
    Et tellement plus d'étincelles peuvent être vues aux Cieux.
    Je ne l'oublierais pas, je ne l'oublierais pas, je ne l'oublierais pas, je ne l'oublierais jamais,
    Ce jour où pour la seule fois, une étoile est descendue du ciel.

    Et son nom était Augustin du Crépuscule.

    Et encore maintenant, sa chanson continue de résonner...

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  • Echoes, the Blue Sea, a Collection of Poems by Aglaophonos Grasping Great Numbers
    Voix : GUMI / 000 (récitations)
    Musique : Neru et Zauni
    Paroles : Neru
    Arrangements : Zauni
    Vidéo : Ryuusee
     
    Romajis :
    Hirakareshi wa otogibanashi
    Tabidachi woba kaname wa tsugu
    Haruka tōku wata no wara ni
    Warabe wa nani omou
     
    Hajimarishi wa toki no sadame
    Ikuokunen no inga o ko e
    Keiban ni miyu ubatama ni zo
    Monogatari wa hiraku
     
    Ditīa ēni seresia
    Oēe etu shiegoya
    Dedēya ouna egashie
     
    Hibike hibike hibike
     
    Ditīa hēze heremia
    Todēe āo akebiya
    Dedēya heshia konashie
     
    Hibike hibike hibike
     
    One who sets foot in the deep guardian woods, Etranger
    The wind singing through the pines, whispering to the child.
    The god-sent howl that shakes even the vast land,
    crawled the blue sky, and sent an echoing roar of Life.
    Aglaophonos sings.
    Echoes dance on sin that's worn,
    glimmering white crow soars
    the deep blue waters.
    from the hundred million psalters.
    Now, unleash the power of the Chronicle on the possible world.
     
    Tozasareshi wa ōmagatoki
    Hirugaeseba ukiyo wa yume
    Kusaki nemuru ushimitsu toki
    Warabe wa nani o shiru
     
    Tsumugareshi wa chikai no uta
    Sukumu shishi o kaze wa kakeru
    Yukumono e to sasagerareshi
    Monogatari no shirabe
     
    Ditīa ēni seresia
    Oēe etu shiegoya
    Dedēya ouna egashie
     
    Hibike hibike hibike
     
    Ditīa hēze heremia
    Todēe āo akebiya
    Dedēya heshia konashie
     
    Hibike hibike hibike
     
    : Traduction
    Le conte de Fées est ouvert
    La clé de voûte raconte le début d'un voyage
    Loin, loin, dans le grand abîme
    Que cet enfant imagine.
     
    Cela commence avec la loi du temps
    Surmontant le destin de quelques centaines de millions d'années
    Dans le noir regardant de ses yeux pénétrants
    L'histoire commencer.
     
    Ditīa ēni seresia
    Oēe etu shiegoya
    Dedēya ouna egashie
     
    Résonne, résonne, résonne.
     
     
    Ditīa hēze heremia
    Todēe āo akebiya
    Dedēya heshia konashie
     
    Résonne, résonne, résonne.
     
    Toi qui mets les pieds dans les bois profonds des gardiens, étranger.
    Le vent chante à travers les pins, chuchotant à l'enfant.
    Le hurlement envoyé par Dieu qui secoue encore cette vaste terre
    A rampé dans le ciel bleu, et envoyé un grondement résonnant de vie.
    Aglaophonos chante.
    Les échos dansent sur le péché qui c'est usé
    Le scintillant corbeau blanc s'élève
    Au dessus des eaux d'un bleu profond
    Faites des cent millions de psautiers.
    Maintenant, libère la puissance de la Chronicle sur un monde possible.
     
    La crépuscule fut fermé.
    Quand il change d'avis, le monde transitoire est juste un rêve.
    De minuit, lorsque les plantes dorment,
    Qu'est ce que cet enfant sait ?
     
    Un poème des voeux à été filé jusqu'au
    Vent qui l'emmène au travers des quatre limbes blotties
    Pour offrir à ceux qui nous ont quittés
    La mélodies de l'histoire.
     
     
    Ditīa ēni seresia
    Oēe etu shiegoya
    Dedēya ouna egashie
     
     
     
    Résonne, résonne, résonne.
     
     
     
     
     
    Ditīa hēze heremia
    Todēe āo akebiya
    Dedēya heshia konashie
     
     
     
    Résonne, résonne, résonne.
     
     

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  • Paper Plane ~ L'histoire de celui qui voulait être un oiseau.
     
    "Longtemps j'ai regardé le ciel, assit dans ce pré. Mon carnet à dessins sur les genoux, mes crayons et mon aquarelle à mes côtés, tout les soirs je venais ici pour contempler les étoiles.
    Je peignais tout les jours le ciel étoilé dans l'espoir qu'un jour je trouverais laquelle de ses étoiles tu as rejointe."
     
    "Depuis que tu es partie là-haut dans le ciel, je viens dessiner les étoiles. Le calme apaisant de leur clarté lorsqu'elles commencent juste à apparaitre, avant que le soleil ne soit définitivement couché, me rappelait le tiens, quand tu étais encore là."
     
    "Si tu savais ! Derrière moi, loin dans le couchant du soleil, les bombes explosent toujours. On essaye de nous cacher les horreurs de cette guerre, mais comment ne pas s'en rendre compte ? Le bruit des obus résonne jusqu'à notre petit village, bien qu'il soit devenu assez lointain. Nous espérons toujours que tout ce terminera très vite."
     
    "La reconstruction du village avance bien ! Je ne peux toujours pas retourner à l'école, mais déjà, nous avons construit plein d'abris avec les débris de nos anciennes maisons. Moi, tu dois t'en douter, je n'ai presque rien fait, avec ma maladie. Tant mieux, ça me laisse plus de temps pour discuter avec toi."
     
    "Tu sais, tu me manques beaucoup. Des fois, je me dis que je devrais te rejoindre. Tu dois te sentir un peu seule, non ? J'espère que tu as bien chaud, sur ton étoile. Chez nous, c'est l'hiver, et il fait vraiment très froid. On entends plus le bruit des bombes mais nous avons du mal à faire approvisionner le village en nourriture et en vêtements chauds ; la plupart de ces biens partent vers le front. Maman à vendu mon matériel de dessin pour acheter du pain. Ce n'est pas très grave, j'ai toujours des feuilles et des crayons, même si maman dit que je jette de l'argent par les fenêtres avec ça."
     
    "Est-ce que tu connais un moyen de se changer en oiseau ? Oui, je voudrais devenir un oiseau. Parce que comme ça, je pourrais m'envoler, et te rejoindre sur ton étoile ! Je transformerais tout le village en oiseaux, comme ça on viendrait tous te voir. Tu ne serais plus toute seule, et je pourrais t'entendre rire, comme avant... Bon, d'accord. J'arrête de t'embêter avec mes histoires impossibles. Maman à bien raison, je devrais travailler au champs plutôt que de rêver à des choses absurdes... Ahahah."
     
    "Tout les garçons qui restaient au village sont partis pour le front. Je suis le seul qui est resté, maman à montré aux messieurs en uniformes les papiers du médecin qui disent que je suis malade du coeur. Ils ne m'ont pas emmené."
     
    "Aujourd'hui, nous avons attendu toute la journée que des lettres viennent du front. La maîtresse à rassemblé toutes les filles pour écrire des lettres. Moi, je n'y suis pas allé. Tu es la seule à qui j'ai envie d'écrire."
     
    "Des lettres sont venues du front. Des lettres des habitants du villages, mais aucune des copains. Il y avait aussi des lettres officielles, avec le tampon de l'état, qui faisaient pleurer les mamans. J'ai vu ma maman et la tienne pleurer, mais elle n'ont pas voulu me dire pourquoi. Maman m'a dit que j'étais inutile, alors je suis parti dans mon pré, pour encore te parler."
     
    "Tu sais, je penses que cette guerre ne finiras jamais. Je penses que ce monde va disparaître, comme toi, sous les bombes. Pourquoi nous sommes-nous engagés dans cette guerre ? Nous allons tous y passer. Après les hommes, ils ont prit les garçons et les homme âgés. Ils finiront par prendre les hommes qui sont restés travailler, et les malades, comme moi. Quand il n'y aura plus d'hommes, il prendront les femmes, et les filles, et les femmes âgées, et tout le monde va y passer. Nous allons tous mourir."
     
    "Je suis désolé pour hier. Les méchants nous ont encore bombardés, et cette fois, c'est ma maman qui est partie se faire guérir sur une étoile, c'est la maîtresse qui l'a dit. Je ne suis pas tout seul, ta maman prends soin de moi. Elle est très gentille, mais c'est très difficile de vivre sans maman. Et je ne sais pas quand papa va rentrer, avec mon grand frère aussi. Et toi, est-ce qu'un jour tu pourras revenir de ton étoile ? Est-ce qu'un jour, les gens qui s'occupent de toi sur ton étoile vont te ramener ? Est-ce que tu seras bientôt guérie ?"
     
    "J'ai demandé à ta maman quand est-ce que tu reviendrais. Elle m'a envoyé des yeux tout noirs, mais pas noir méchant, noir de vide. Elle s'est mise à pleurer, et m'a dit que tu ne reviendrais jamais, que tu étais morte et enterrée à cause de cette guerre, que personne ne pouvait rien y faire, que la maîtresse nous a encore raconté des conneries et que personne n'habite dans les étoiles, et certainement pas les morts. Est-ce que c'est vrai ? Après tout, tu ne m'as jamais répondu..."
     
    "Aujourd'hui, j'ai décidé de te rejoindre. Ce monde est trop horrible, l'humain à fait trop d'erreurs. Les gens ont essayé de m'arrêter, en disant que Dieu ne m'accepterait pas au paradis si c'était moi qui me donnait la mort, que Dieu préférait les personnes mortes comme papi ou toi, ou les soldats qui se sont battus pour notre pays et qui ne reviendront jamais. Mais je m'en fiche. Je te rejoindrais quand même, et ce n'est pas Dieu qui va m'empêcher de venir avec toi sur ton étoile. Je sais maintenant que mon corps est trop lourd pour y aller tout seul, même si je deviens un oiseau. Donc, je vais laisser mon corps ici, et mon esprit va partir tout seul rejoindre le tiens, sur ton étoile. Aussi, je te dis à bientôt."
     
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    Il avait plié cette dernière lettre sous la forme d'un avion de papier blanc, et l'avait lancé. L'avion avait voleté un instant, puis s'était écrasé au milieu de tant d'autres, tâchés d'encre bleu foncé. Le jeune homme s'approcha de ses lettres, enleva son chapeau et les y déposa, pour les protéger de la pluie. Ses cheveux blonds fonçaient sous l'eau tombant du ciel. Il serra un petit collier dans sa main droite, serra les lettres contre son coeur. Il fouilla dans sa poche, en sorti un couteau, et d'un geste sûr, se trancha la gorge. Il tomba à genoux sur le sol. Les avions en papier tombèrent aussi. La pluie, mêlée aux larmes du jeune homme, s'écrasait sur les lettres et faisait couler l'encre, qui tâchait de bleu sa chemise blanche déjà teintée de rouge.

    Il ferma les yeux pour toujours.
     
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    On ne voyait que la silhouette transparente d'une petite fille assise à l'horizon. Ses cheveux bruns semblaient baigner dans les rayons du soleil, et des larmes coulaient le long de ses joues, pareilles à des étoiles. Elle plia un petit avion en papier, et l'envoya voleter dans le ciel. Dessus était écrit : "tu n'es toujours pas là..."
    Elle ferma ses yeux, faisant tomber une nouvelle vague de larmes et soupira. Elle sentit soudain une main sur son épaule, et se retourna pour voir la silhouette d'un jeune garçon blond, qui tenait dans sa main l'avion de papier qu'elle venait de faire. Il avait les yeux plein de larmes, mais arborait un large sourire. Il aida la petite fille à se lever, et lui dit :
     
    "Je suis arrivé..."
     
    Et puis, il la serra dans ses bras.

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  • Physalis ou L'histoire d'une âme tâchée de sang.
     
    "Je t'aimais..."

    Ce que j'ai vu dans les ténèbres brillait d'une lueur écarlate. Il ressemblait à la fine coque d'un physalis. Ce que j'ai vu dans les ténèbres m'enveloppa. Il ne pouvait pas effacer ma tristesse et ma douleur, alors...
    S'il le faut, je détruirais tout. Tout deviendra rouge, et je disparaitrais dans la nuit.
     
    Je regardai le ciel en me demandant quand je pourrais l'atteindre. Les ténèbres m'ensevelissaient, mes yeux ne voyaient plus rien. Tout autour de moi était dépourvu de lumière et couvert de sang. J'errais sans le savoir, mon corps se balançant d'avant en arrière. Tout autour de moi commençait à disparaître, et je ne m'en rendais pas compte.
     

    "Les ténèbres n'ont rien fait. Je suis la seule coupable. Je les ai attirées ici."
    "Elles ont capté ma présence."
    "Laissez moi seule derrière. Ne vous approchez pas."
    "C'est ma faute. Ce monde sans rêves m'a tuée"
    "Pardon."
     
    Je m'accrochais fermement à ma tristesse, car elle était la seule chose qui me restait. J'ai aimé ces ténèbres parce que je ne pouvais pas fuir. Elles m'avaient promit de me sauver, d'effacer mes souvenirs. Je ne suis plus digne de parler de gentillesse, de bonheur. Je n'en suis plus capable. Je n'en ai plus le droit.
    Et donc, j'ai aimé ses ténèbres qui ont effacé même mes rêves.
     
    Et puis ce que j'ai vu dans les ténèbres m'embrassa. Tout a recommencé sans que je ne m'en aperçoive. Tout est devenu noir, la terreur est revenue et le sang a coulé. J'ai disparu dans la nuit en ne laissant que des tâches de sang.
     
    J'avais compris. Je ne cherchais plus le salut ni la lumière. J'ignorais ma tristesse. J'ai regardé la lune. "Pourquoi es-tu rouge ?" lui ais-je demandé en pleurant des larmes noires. "Pourquoi ce que j'ai oublié me fait si mal ?"
    Elle ne m'a pas répondu.
     
    J'ai regardé en arrière, j'ai cherché à comprendre mon passé. Je n'ai vu que ce sang qui n'était pas miens. J'ai cru voir une silhouette qui me souriait calmement.
    Mais ce n'était peut-être que les ténèbres me jouant des tours.
     
    Je me suis retournée, n'ayant trouvé aucune réponse. J'ai caché mon visage en pleurs dans mes mains, et j'ai de nouveau regardé la lune. Mon sang à coulé avec celui de tant d'autres.
    En regardant le ciel, j'ai compris ce que j'avais cherché. M'écroulant dans une mare écarlate, j'ai juste murmuré...
    "Je t'aimais..."
     
    Ma vue c'est brouillée. Tout est devenu noir. Mes derniers mots se sont évanouis dans les ténèbres...

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  • Steampianist - The Logical Pink Gizmo and the Gingerbread Man
     
    The Logical Pink Gizmo and the Gingerbread Man
     
    Voix : OLiVER, GUMI
    Musique : Steampianist
    Paroles : Morbid-Morsel
    Vidéo : Morbid-Morsel
     
    Lyrics :
    The smell of the sick
    A nauseating splatter
    It scrapes it cracks and clatters
    An empty Silver platter

    Its mottled and its tabby
    I dont know who to blame
    A logical pink gizmo
    Spitting it out soft noises

    Its a magician of sort
    Conjures up the next world
    People on pedestals
    are taking turns
    to be god
    taking turns
    to be god

    "theres alternating stitches running through your head"
    (through my head)

    It can run but it cant hide
    No point picking up the pace
    My legs are kind of weak
    But i will catch you soon

    Setting up a trap or two
    for that sapid gingerbread man
    it can run but it cant hide
    yes it will crumble soon
    and by then ill be sane!

    A ruse a sham a trick a trap
    The gingerbread man's last stop
    It scapes it cracks it clicks and clacks
    the empty silver platter

    Its raw its sweet and sour spit
    the gingerbread man's luscious taste
    the jelly chunks and slags of meat
    the scent attracts the rats and worms

    And im a magician of sort
    I conjure up the next world
    People on pedestals
    are taking turns
    to be god
    taking turns
    to~ be~ GOD!

    "bloody hell"

    It can run but it cant hide
    No point picking up the pace
    My legs are kind of weak
    But i will catch you soon

    Setting up a trap or two
    for that sapid gingerbread man
    it can run but it cant hide
    yes it will crumble soon
    and by then ill be sane!
     
    : Traduction
    L'odeur des malades
    Comme une éclaboussure puante
    Elle gratte, elle craque et claques,
    Un plateau d'argent vide.
     
    C'est marbré et c'est rayé.
    Je ne sais qui blâmer.
    Un gadget rose logique
    Crachait des bruits moelleux.
     
    C'est en quelque sorte un magicien
    Qui invoque un nouveau monde.
    Les gens sur leurs piédestaux
    Attendent leur tour
    Pour être Dieu
    Leur tour
    Pour être Dieu
     
    "Il y a des points de suture qui traversent en alternance ta ma tête"
    "Oh non !"
     
    Il peut courir, mais pas se cacher.
    Aucun point ne rattrape la cadence.
    Certes, mes jambes sont un peu faibles.
    Mais je finirais par t'attraper !
     
    Je mets en place un piège ou deux,
    Pour ce savoureux bonhomme de pain d'épices
    Il peut courir, mais pas se cacher.
    Ouais, il s'écroulera bientôt,
    Et là je serais saint d'esprit !
     
    Une ruse, un leurre, un sort, un piège,
    Dernier arrêt pour le bonhomme de pain d'épice,
    Il gratte, il craque et claque,
    Un plateau d'argent vide !
     
    C'est cru, c'est aigre, c'est doux,
    Le savoureux goût du bonhomme de pain d'épice
    Des morceaux de gelée et des déchets de viande,
    L'odeur attire les rats et les vers.
     
    Et je suis en quelque sorte un magicien
    Qui invoque un nouveau monde
    Les gens sur leurs piédestaux
    Attendent leur tour
    Pour être Dieu
    Leur tour
    Pour être Dieu !
     
    "Sanglant Enfer"
     
    Il peut courir, mais pas se cacher.
    Aucun point ne rattrape la cadence.
    Certes, mes jambes sont un peu faibles.
    Mais je finirais par t'attraper !
     
    Je mets en place un piège ou deux,
    Pour ce savoureux bonhomme de pain d'épices
    Il peut courir, mais pas se cacher.
    Ouais, il s'écroulera bientôt,
    Et là je serais saint d'esprit !
     
    *note : "tabby" : couleur de pelage, tigré.

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