• Mafumafu - Yume to Utakata

     

    Yume to Utakata
     
    Voix : Mafumafu
    Musique et Arrangements : Mafumafu
    Paroles : Mafumafu
    Illustrations : Hyahhh
    Album : Yamiiro Night Parade
     
    Kanji :
    君と歩いた   夕焼け空を
    雲の裏側   隠してしまおう
    息をするのは   どうしてですか
    生きていくのは   死んでいくこと


    夜が閉じたら   迎えに来てよ


    消えていく   世界はうたかた
    もう僕の   隣にいないのかい
    もう少し   話がしたいな


    少しだけ
    少しだけ
    少しだけ

    : Romaji :
    Kimi to aruita yuuyake sora wo
    Kumo no urakawa kakushite shimaou
    Iki wo suru no wa doushite desuka
    Ikite iku no wa shinde iku koto
     
    yoru ga toji tara mukae ni kite yo
     
    Kiete iku sekai wa utakata
    Mou boku no tonari ni inai no kai
    Mou sukoshi hanashi ga shitai na
     
    sukoshi dake
    sukoshi dake
    sukoshi dake
     
    : Traduction
    Le coucher du soleil marchait à tes côtés.
    Cachons-le de l'autre côté des nuages.
    Pourquoi suis-je en train de respirer ?
    Continuer à vivre, c'est mourir.
     
    Quand la nuit se ferme, vient à ma rencontre.
     
    Disparaissant... Le monde est éphémère...
    A mes côtés... Il n'y a déjà plus rien...
    Un peu plus longtemps... Je voulais encore te parler...
     
    Juste encore un peu...
    Juste encore un peu...
    Juste encore un peu...

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  • Mikazuki Hime ou L'histoire de la Princesse du Croissant de Lune...
     
    C'était le soir. Un beau soir d'été, chaud et enivrant, ou l'on pouvait déjà admirer les étoiles, même si la nuit n'était pas encore tombée. Sur une plaine peuplée d'aucun humain, on entend un rire d'enfant. Puis on la voit, petite fille aux cheveux d'argents, qui danse dans la pluie fraîche tombée il y a peu. Ses yeux sont fermés. Elle restera là jusqu'à la nuit tombée. Puis, une fois le croissant de lune arrivé, elle ouvrira ses deux yeux que la lune fera briller, perles de turquoise et de rubis, luisant dans la nuit. Alors, elle nous sourira, et s'évanouira dans la nuit, sans laisser de traces, comme un rêve qui prend fin.
     
    L'espoir est un sentiment humain qui les poussent à se battre. le désespoir est ce qui arrive après qu'un humain se soit rendu compte que ses espoirs sont vains, stupides et futiles. Que tout ce à quoi il s'accroche n'est en réalité que du vide. Et toi, tu n'avais que le désespoir dans les yeux. Jamais tu n'as eu l'ombre d'une lueur d'espoir dans un de tes yeux, que ce soit le doré ou l'écarlate. Toi, tu as toujours vécu en te disant que ce n'était qu'un cauchemar, et que c'était inutile. C'est comme si tu le savais depuis toujours, qu'il ne t'avais rien fallu pour que tu penses de telles choses de ce monde. Pourtant, tu n'as rien vécu d'horrible au point de pouvoir penser cela.
    Sauf peut-être...
    C'était il y a quelques années. Dans ton école, tout le monde se moquait de toi, parce que tes deux yeux avaient de bien étranges teintes. L'un était aussi doré que le reflet du soleil caressant la mer, l'autre était aussi rouge que le sang qui s'écoule d'une plaie fugace ou importante. De même, tes cheveux avaient la couleur des blés murs. Tu était donc très différent et très seul. Seul parmi tout les autres. Cependant, tu ne t'en souciais guère, leurs bavardages t'importaient peu. Car tu l'avais, Elle.
    Elle n'était peut-être qu'un mirage, créé par ton imagination pour te rendre heureux, ou bien était-elle réelle, mais en tout cas, Elle t'avait redonné espoir. Tu ignorais son nom, mais tout les soirs, en rentrant chez toi, tu te cachais derrière un arbres et tu l'écoutais. Tu la regardais. Petite fille de ton âge, qui avait des cheveux d'argent, et un oeil écarlate. Petite fille qui dansait le soir dans les champs, en rigolant et en chantant. Toute la joie du monde dans son sourire, toute la douleur dans sa pupille d'azur.
    Tu l'ignorais sans doute, et maintenant c'est trop tard, mais elle était la lune, et toi le soleil. Ces deux astres divins ne sont pas fait pour se rencontrer, car l'un près de l'autre, ils ne peuvent que se faire de l'ombre. Et donc, tu n'aurais pas du aller lui parler.
    Tu t'approchas d'elle et commença à lui parler. Insouciamment, vous discutâtes jusqu'à ce que la nuit tombes. Et avant que ta princesse ne disparaisse, tu lui adressas un "je t'aime". A cet instant précis, elle perdit son sourire. Elle t'avait reconnu, toi le soleil, et savait que ton amour vous détruirait. Tu le savais aussi, quelque part, mais tu ne voulais pas le reconnaitre. 
    Le corps de la princesse se changea en cristal. Des pointes surgissaient de ses os, traversaient sa chair et recouvraient son corps d'une carapace d'épines translucides recouverte de lambeaux de chair et de sang. Elle affrontait sa mort avec un pâle sourire, pendant que tu pleurais à chaudes larmes. Elle leva son bras droit, qui disparaissait lentement sous les cristaux, et caressa ta joue. Elle te dit "moi aussi, je t'aime", avant de perdre la voix, car des cristaux sortaient de sa gorge. Sa lente agonie prit fin lorsque qu'une pointe traversa son coeur. Ne resta d'elle qu'un gigantesque cristal, qui commençait à se changer en poussière. Les infimes poussières de cristaux s'envolèrent jusqu'à la lune, et ne laissèrent derrière eux qu'un cristal turquoise en forme de croissant.
    Ta douleur était telle que tu ne pus la supporter. Le lendemain, tu revins dans le champ, le cristal lunaire dans ta main gauche, une dague aiguisée dans l'autre. Tu lâchas la pierre qui roula sur le sol, puis tombas à ses côtés, un trou rouge du côté gauche. Tu regardais la lune, et le sang qui coulait dans ta main gauche se cristallisait peu à peu. Ton corps se consuma ; le lendemain matin, ne restait plus que deux petits cristaux brillant, l'un soleil doré, l'autre croissant turquoise...
    Depuis ce jour, les deux astres brillent toujours plus fort. Et pour ceux qui s'approcheraient du champ, on raconte que lors des éclipses lunaires, on peut y voir deux enfants, dansant et chantant dans les ténèbres fugaces...

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  • Iyo Mikazuki

    Nom : Mikazuki
    Prénom : Iyo
    Age : 16 ans
    Tribus : Aglaophonos
    Rôle : Chasseuse-Cueilleuse
    Pouvoir : Manipulation de l'Agilité.
    Fiancé : Kyo Kaname.
    Caractère : Elle paraît très calme et posée mais... Elle fait souvent n'importe quoi. Elle adore grimper aux arbres, et jouer avec les autres comme une enfant. Lorsque quelqu'un est en danger, elle n'hésite pas à aller le sauver. Ah, elle ne supporte pas les provocations, ou les insultes, et peut y réagir de manière très violente.


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  • Aru Shinjitsu no Uta

    Voix : Alice Rokugen
    Album : Mirai Nikki Inspired Album
    Source : Mirai Nikki
     
    ROMAJIS :
    `Sekai wa hidoku minikuku aware nari'
    Dakara kimi o mamorou to suru sekai kara kimi o mamotteagetai
    `Sekai wa futari no mirai o anji suru mono nari'
    Dakara sore made no marida, semete kimi dake wa mamotteagetai
    Shinjitsu wa tsuneni katawara ni daga hito wa tsuneni mōmokunarite
    Orokana zattō ni kaki kesa reru mononari
    Kimi no soba de semete futari, shinjitsu o shiranai mama de
    Yoru o koete, yumemite ―――.
    Yagate futari mezametanara...
    Atarashī owariwotsugeru uta wo
    O kasaneawa sete
    Aru shinjitsu no uragawa ni aru shinjitsu o shiru mono
    Aru ataerareta shinjitsu o shinjitsu to sakebu mono
    Toki wa megurite, sekai wa kimi o madowa seru tame ni toikakeru
    Nogare rarenu sadame ni aragau mo mirai
    Nagai yogaa futari, harunoyoru no yume o samayō
    Nani mo shirazu, kikoezu ―――.
    Tada futari wa arishi hibi no mirai e tsunagaritai dake
    Sore wa dare no shinjitsu?
    Kimi no soba de semete futari, shinjitsu o shiranai mama de Yoru o koete, yumemite
    Yagate futari mezametanara...
    Atarashī sekai o tsugeru no uta wo
    O kasaneawa sete
     
    : TRADUCTION
    "Le monde est cruel, hideux et pitoyable"
    Et donc, j'essayerais de te protéger. Je veux te protéger de ce monde.
    "Le monde est secrètement mené par l'avenir de ces deux-là".
    Et donc, au moins jusque là, je veux te protéger.
     
    La vérité est toujours là, mais les gens sont aveugles.
    Alors elle disparait dans la foule stupide.
     
    Au moins, je veux être à tes côtés, même en ignorant la vérité
    Traversant la nuit, rêvant---
    Et quand nous nous réveillerons
    Nous écrirons la chanson qui raconte cette nouvelle fin.
     
    Ceux qui connaissent la "vérité" n'ont vu que le revers de la Vrai Vérité
    Ceux qui crient la Vrai Vérité n'ont reçut que cette "vérité"
     
    Le temps tourne, le monde se pose des questions qui vous égarent
    Lutter contre ce destin inévitable, c'est l'avenir.
     
    Nous éclairons cette longue nuit, durant le rêve d'un court soir de printemps
    Sans rien savoir, sans rien entendre
    Je veux juste connecter ces jours ou nous existons tout deux
    Quelle est cette vérité ?
     
    Au moins, je veux être à tes côtés, même en ignorant la vérité
    Traversant la nuit, rêvant---
    Et quand nous nous réveillerons
    Nous écrirons la chanson qui raconte ce nouveau monde.
     
     

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  • The Bird that Crosses the Star

    Voix : Kagamine Len
    Musique, paroles et arrangements : Nem
    Illustrations et Vidéo : Tama
    Album : Gliese
     
    ROMAJI :
    kono sora no hate ni
    mukashi mukashi, koko to yoku nita
    inochi ni afureru
    hoshi ga atta to iu
    hito wa yokubou ni obore yagate
    sekai wa iki o suru no o yameta
    nagai, nagai toki ga nagare
    kikoeta no wa
    anata ga, anata ga
    watashi o yobu koe
    watashi wa tori ni nari
    tooku, tooku habataiete yuku
    iku sen no hoshi o koe
    anata no moto e
    karada wa moetsuki
    hai ni natte kiete itte mo
    kokoro wa toki o koe
    yakusoku no basho e tobu
    jibun no sugata mo omoidasezu
    kasuka na jiga wa dare ni mo miezu
    nagai, nagai toki ga nagare
    tadori tsuita
    anata ga, anata ga
    machi tsuzuketa hoshi
    kimi to boku ga umareta basho
    koko ni onaji namae o tsukeyou
    futari no kokoro wa
    hitotsu ni nari, hikari ni natta
    subete no inochi ga
    mata umareru you ni
    onaji ayamachi o
    mou ni do to wa okasanai you
    watashi wa ai no uta
    koko de utai tsuzukeru
     
    : TRADUCTION
    Aux confins du ciel,
    Il y a longtemps, tout était ainsi.
    On raconte qu'il y avait une étoile,
    Eclatante de vie.
    Tant de personnes se sont perdues dans l'avarice.
    Et bientôt,
    Le monde cessera de respirer.
    Un long, long moment passa...
    Et le seul son que je pouvais entendre était...
    Ta voix, ta voix,
    Ta voix qui m'appelait.
    Je vais devenir un oiseau.
    Et partir loin, battant de mes ailes,
    Par-delà des milliers d'étoiles,
    Pour te rejoindre.
    Et même si mon corps prend feu,
    Tombe en cendres, et disparait,
    Mon cœur traversera le temps,
    Et volera jusqu'à ce lieu promis.
    Je ne me souviens pas de sa forme.
    C'est une existence lointaine, invisible, disparue des mémoires.
    Un long, long moment passa.
    Et je suis enfin arrivé.
    Tu es, tu es,
    Tu es l'étoile qui n'a pas cessé d'attendre.
    Cet endroit où nous sommes nés*,
    Donnons son nom à celui-ci.
    Nos deux cœurs,
    Deviendrons un, deviendrons la lumière.
    De sorte que toute vie
    Puisse renaître.
    De sorte que plus jamais
    Nous ne reproduisions ces mêmes erreurs.
    Ici, je continuerais toujours
    De chanter des chansons d'amour.
     
     

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